Le marché de l'immobilier est de plus en plus tendu. La quantité d'acquéreurs ne cesse d'augmenter, la quantité de bien sur le marché s'est énormément appauvri. Alors quelle est la valeur de votre bien immobilier à ce jour dans ce contexte ? La réponse ?! faire estimer son bien c'est évidemment. Mais comment être sûr que le prix qui nous sera indiqué sera le vrai prix marché ? Beaucoup de site, de logiciel sont sur ce sujet mais ils ne considèreront généralement pas tout un ensemble de facteurs qui joueront sur le prix et la prise de décision d'achat. Faite confiance à votre agent immobilier local, faites appelle à un professionnel qui exerce depuis plusieurs années dans votre secteur et qui ne se laissera pas influencer par une estimation de complaisance qui aura pour but d'augmenter son volume de mandat et de satisfaire aux exigences de ses supérieurs.
Moralité, une bonne estimation vous permettra de vendre rapidement au bon prix et de poursuivre vos projets immobilier en toutes sérénité !
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Voici un article que j'ai lu sur le site https://www.affiches-parisiennes.com l'avis de Didier Kling sur la nécessité de mettre plus en avant l'immobilier dans les de débats alimentant la campagnes présidentielle. L' immobilier une cause nationale ???? © DR - Didier Kling, président de la Chambre Nationale des Conseils et Experts Financiers, appelle les candidats à l'élection présidentielle à faire de l’immobilier l’objet d’un véritable débat, mais aussi d'une grande cause nationale après le scrutin. L’immobilier serait-il le grand absent de la campagne présidentielle ? Tout porte à le croire! En tout cas, il n’est pas abordé par les différents candidats dans la course à l’Élysée. Pourtant, il s’agit d’une préoccupation fondamentale des citoyens. L'immobilier est une préoccupation fondamentale pour tous nos concitoyens, aussi importante que le pouvoir d’achat, la sécurité, la transition climatique.
Bien sûr, nous avons assisté à la création de tout un arsenal législatif pendant la mandature pour tenter de régler les problématiques des Français ou de tensions sur le marché :
Tout récemment, la Chambre Nationale des Conseils et Experts Financiers (CNCEF) Immobilier a appelé à un “new-deal” de l’immobilier en interpellant les Pouvoirs publics, à l’instar des organisations représentatives. Il n’est pas trop tard pour relancer le sujet du Logement et prendre conscience de la réalité. Prendre en compte l’urgencePourquoi il y a urgence ? Dans son récent rapport, la Fondation Abbé Pierre révèle que 13 % des Français ont des difficultés à payer leur logement (loyer, charges, crédit immobilier). 5 % ont été contraints d’en changer pour des raisons financières. Du côté des primo-accédants, les craintes sont fortes, surtout auprès des jeunes qui constituent le cœur de cible de nos professionnels. 32 % d’entre eux sont réservés quant à leur possibilité de payer leur logement. De même qu’un jeune sur deux affirme que ce sujet est la première préoccupation quotidienne. Comme l’analyse Real Estech la semaine passée, dans sa note, si rien ne change, le logement est une bombe sociale en devenir. Relancer l’envie d’être propriétaire Pourtant, la pierre est l’un des actifs préférés des Français. Elle est à la fois le meilleur placement sécuritaire et spéculatif pour se constituer un patrimoine évolutif, transmissible et pour certains de nos concitoyens, des revenus locatifs. Elle représente toute une chaîne vertueuse de l’économie française qui peut créer de la valeur ajoutée et des emplois lorsque le Bâtiment va et l’immobilier avec. Le désir d’être propriétaire existe toujours, seulement il nous faut bien nous rendre à l’évidence qu’il stagne depuis 15 ans alors que nos voisins européens sont en dynamique. S’agissant du neuf, la France est face à un "nœud gordien''. Il n’a jamais été autant promu par les pouvoirs publics. Pour autant, sa production baisse, en dehors de toute prise en compte des effets de la crise sanitaire. Existe-t-il une certaine défiance sur le marché ? Elle est à redouter, car les réglementations énergétiques en direction du parc existant vont forcément entraîner la sortie d’une partie des biens de type E, F et G entre 2025 et 2034. La transition écologique a été enclenchée à marche forcée. Pourra-t-elle ignorer qu’elle risque de provoquer des tensions ? Pour atteindre le génie climatique imposé par les accords de Paris et les différentes conférences internationales et nationales, il va falloir former les professionnels en place mais aussi lancer un vaste plan pour que la nouvelle génération l'intègre. Cela suppose également que les propriétaires entament de leur côté d’importants investissements pour remettre aux normes leurs biens et que les établissements financiers se montrent conciliants sur les conditions d’octroi des prêts. Réalités de terrain D’ailleurs, nous mesurons les conséquences du durcissement d’accès aux crédits pour les particuliers ; conséquences des décisions de la Banque centrale Européenne et de la Banque de France. Ainsi les banques françaises face aux projets de leurs clients se retrouvent confrontées à une application stricte des règles qui affecte l’attractivité de leurs offres. Même si elles tendent à les assouplir ou à faire appel à un apport personnel du client, ces obstacles entament la capacité des ménages à obtenir leur dossier de financement. Ce qui peut expliquer d’ailleurs le recul des crédits pour l’ancien depuis l’été dernier. Bien sûr, nous pourrions être qualifiés de Cassandre mais nos analyses sont d’autant plus lucides et objectives qu’elles reposent sur les données de terrain où les élus sont face à trois paramètres desquels ils sont prisonniers : le pouvoir d’accorder ou non un permis de construire, la limitation de l'artificialisation des sols et l’obligation de bâtir des logements sociaux. Quid des autres programmes de construction lorsque le plan d’urbanisme n’en laisse pas l’opportunité ou que les réserves foncières devenues coûteuses, sont déjà occupées ? L’immobilier, grande cause nationale Disons-le : la politique du Logement - et plus globalement de la promotion immobilière - ne donne plus satisfaction à l’ensemble des acteurs : les propriétaires face aux normes énergétiques, le secteur du social avec ses contraintes, les élus locaux en proie aux dilemmes des lois, les promoteurs face à la réglementation et à la baisse d’investissement dans le neuf, les Français qui s’inquiètent... Il est donc temps de les rassembler pour qu'émerge une nouvelle politique qui doit donner à nos compatriotes des perspectives et se traduire en actes dès le début de la prochaine législature. Parmi les axes prioritaires : repenser la fiscalité de l’immobilier sans découdre ce qui fonctionne, créer un véritable ministère du logement et de l’immobilier, décentraliser aux collectivités la capacité de mieux construire pour répondre à la diversité des situations, sans devoir renoncer parfois face aux lois contradictoires voire inextricables. Le prochain quinquennat est l’occasion de faire de l’immobilier et du logement, une grande cause nationale. D’autant plus qu’ils pèsent 344 milliards d’euros dans notre économie. Soit presque autant que l’agriculture et l’industrie qui représentent 308 milliards d’euros. A l’heure où la relance du pays est amorcée, il serait utile qu’un débat s’instaure entre toutes les parties prenantes afin de lever les freins à l’offre et rééquilibrer la demande. La CNCEF est prête à y prendre part. Il pourrait s’ouvrir avec un thème central : comment redonner aux investisseurs et aux acheteurs davantage de pouvoir pour leurs transactions immobilières ? voici un article que j'ai lu sur Capital.fr, cliquez sur le lien en bas de la page La question du logement est jusqu'à présent absente des débats présidentiels. Mais la publication du rapport de la fondation Abbé-Pierre, mercredi, rebat les cartes. Certains candidats ont décidé de s'emparer du sujet. C'est le grand absent des débats de cette élection présidentielle 2022 : le sujet du logement, et notamment du mal logement n'était que très peu discuté jusqu'à présent. Un constat posé par les militants du droit au logement, les agences immobilières ou encore les bailleurs sociaux et les professionnels du bâtiment. Et ce, alors que le logement reste le premier poste de dépenses des ménages. Mais c'était avant la publication, mercredi 2 février, du rapport de la fondation Abbé-Pierre sur la question. À gauche, certains candidats ont profité de la présentation de cet état des lieux pour s'emparer de la thématique et intégrer pleinement le logement à la campagne présidentielle. "Nous ne comprenons pas et nous nous insurgeons contre le fait que le logement soit aussi peu présent dans les débats", a déploré mercredi Laurent Desmard, le président de la fondation Abbé-Pierre (FAP), à l'occasion de la présentation de son rapport annuel sur l'état du mal-logement. Le rapport lui-même, sévère avec le président sortant Emmanuel Macron, déplore aussi "un aveuglement des responsables politiques" en général sur le sujet. Car en 2020, le logement, incluant le chauffage et l'énergie, représentait pourtant 21,8% des dépenses des ménages, selon l'Insee. En ajoutant l'équipement du logement, on arrive à 24,6% C'est sans compter les dépenses en transport (8,6%), dont certaines sont contraintes pour ceux qui habitent loin de leur lieu de travail, et sont en hausse, ce qui inquiète d'autant plus la FAP. "Pour les publics les plus fragiles, les plus modestes, c'est parfois 40, 50, 60% du budget qui est consacré au logement", a insisté en conférence de presse Christophe Robert, délégué général de la fondation. Alors même que le pouvoir d'achat est, selon les sondages, le premier sujet de préoccupation de la population. pour lire la suite cliquez sur le lien suivant :
ww.capital.fr/immobilier/presidentielle-2022-le-logement-nouveau-cheval-de-bataille-des-candidats-1427387 Voici un article qui traite du sujet de l'assurance du prêt immobilier L'assurance de prêt immobilier est un incontournable pour obtenir un crédit. Le Parlement a définitivement adopté une réforme de l'assurance emprunteur. Voici ce qui vous attend. Dans le cadre d'un achat immobilier, l'assurance de prêt immobilier, aussi appelée assurance emprunteur, correspond à une assurance permettant la prise en charge des échéances de remboursement ou du capital dû d'un crédit restant en cas d'événement majeur (décès, perte totale d'autonomie, invalidité permanente, perte d'emploi...). Si elle n'est pas obligatoire, l'assurance emprunteur est bien souvent indispensable pour obtenir un prêt immobilier. L'établissement prêteur "exigera quasi-systématiquement que l'emprunteur s'assure : contre les risques de Décès et de Perte Totale et Irréversible d'Autonomie (PTIA) en cas d'investissement locatif ; contre les risques de Décès, de Perte Totale et Irréversible d'Autonomie (PTIA), d'Invalidité et d'Incapacité de travail (ITT), voire de Perte d'emploi en cas d'acquisition d'une résidence principale", peut-on lire sur le site Assurance Banque Epargne Info Service de la Banque de France. ..... Source et pour lire la suite : https://www.journaldunet.fr/patrimoine/guide-de-l-immobilier/1202061-assurance-emprunteur-fonctionnement-date-changement/
Je trouvé un article intéressant sur cette question que l'on me pose souvent. Achat dans l'ancien ou le neuf ? L’investissement dans le secteur de l’immobilier constitue le moyen idéal pour diversifier votre patrimoine et vous assurer des revenus considérables. Toutefois, avant de procéder à un tel placement, vous devrez opérer un choix décisif. En effet, il faudra choisir entre un investissement immobilier dans le neuf ou dans un bien ancien....... Source et pour lire l'article au complet : info-immo.com/investissement-immobilier-que-choisir-entre-le-neuf-et-lancien/
Acier, verre, aluminium : plusieurs matériaux indispensables au bon déroulement des chantiers proviennent en grande partie d’Ukraine, de Russie ou de Biélorussie. Si le conflit persiste, leur approvisionnement pourrait devenir un vrai casse-tête, et allonger la durée des travaux et des constructions de logements. La guerre en Ukraine ne risque pas de faire flamber uniquement les prix de l’essence ou des céréales : elle pourrait aussi provoquer de sérieux retards sur vos chantiers. En effet, la livraison de plusieurs matériaux indispensables aux travaux de construction est liée d’une façon ou d’une autre à l’une des parties prenantes du conflit (Ukraine, Russie, Biélorussie). L’approvisionnement de trois matières premières, dans le détail, inquiète particulièrement les constructeurs : l’aluminium, le verre, et encore davantage l’acier. Les grillages formées de tiges en acier, en effet, se révèlent quasi-incontournables dans la réalisation de nombreux actes de maçonnerie : fondation au sol, murs, planchers en béton, etc. “On utilise les armatures en acier afin d’éviter les problèmes de torsion sur les bâtiments”, explique Damien Hereng, le président de la Fédération française des constructeurs de maisons individuelles (FFC). Pour la livraison d’une petite maison individuelle, ces tiges de métal représentent a minima entre 3.000 à 4.000 euros d’approvisionnement sur le chantier, estime le bâtisseur.
Or, “la principale filière de fournisseur de ces tiges métalliques est italienne. Et elle se fournit majoritairement en acier d’Europe de l’Est pour fabriquer celles-ci”, rapporte la Fédération française du bâtiment (FFB), le plus gros syndicat du secteur. D’après la FFB, avant le déclenchement de cette guerre, près de 50% des aciers utilisés pour fabriquer ces grillages étaient issues de fonderies ukrainiennes, russes ou biélorusses. Si le conflit devait durer, les constructeurs s’attendent non seulement à des hausses évidentes de prix (même si elles sont pour l’heure quasi-impossibles à estimer), mais surtout à des pénuries quasi rédhibitoires pour leur activité. “Un de mes maçons m'expliquait qu’il avait trois semaines d’armatures ferraille en stock, pas davantage", témoigne ainsi Grégory Monod, le président des constructeurs de maisons du Pôle Habitat FFB. “Or si mon maçon s’arrête, toute la chaîne est bloquée : le plombier, l’électricien, plus personne ne peut intervenir sur le chantier”, illustre-t-il. “Il va falloir expliquer à nos clients que les livraisons pourraient prendre deux, ou trois mois de retards à cause de ces pénuries”, anticipe son confrère Damien Hereng. |
BBC
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